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Défense

General Carsten Breuer, 17. Generalinspekteur der Bundeswehr

Seit ihrer Gründung im Jahr 1955 wird die Bundeswehr morgen ihren siebzehnten « General-inspekteur » haben – das deutsche Äquivalent zum Chef des französichen Generalstabs der Streitkräfte (CEMA). Der Generalinspekteur ist der erste « Soldat » der Bundeswehr und der oberste militärische Berater der Bundesregierung. In dieser Funktion ist er für die Gesamtkonzeption der Verteidigungsorganisation und die Führung von Operationen verantwortlich. General Carsten Breuer wird viele Heraus-forderungen zu bewältigen haben. […]

Besuch_Bundeskanzler_TFK - Photo Bundeswehr - Weinrich
Défense

Le Général Carsten Breuer, 17e General-inspekteur de la Bundeswehr

Depuis sa création en 1955, la Bundeswehr comptera demain son 17e « Generalinspekteur » — l’équivalent allemand du Chef d’état-major des Armées (CEMA). L’inspecteur général est le premier « soldat » de la Bundeswehr et le conseiller militaire suprême du gouvernement fédéral. A ce titre, il est responsable de la conception globale de l’organisation de la Défense et de la conduite des opérations.
Le général Carsten Breuer aura de nombreux défis à relever. En interne, il s’agira de donner un coup d’accélérateur à la modernisation de la Bundeswehr et de fidéliser ses effectifs. En externe, il faudra continuer à soutenir l’Ukraine et se montrer un partenaire solide, tant au sein de l’Alliance qu’en bilatéral. […]

Soldat russe volant une TV - Photo résistance ukrainienne
Défense

Ukraine : Un an de guerre : Quels enseignements pour la France ?

La guerre menée par la Russie contre l’Ukraine « ne constitue pas une vraie surprise stratégique. Le renseignement a péché par l’interprétation. Nos biais cognitifs nous ont conduits à surévaluer la probabilité des hypothèses relevant de notre propre rationalité et à négliger les autres… Un changement de logique est nécessaire : l’époque des « dividendes de la  paix » est  révolue. Les démocraties et les régimes autoritaires n’ont pas la même évaluation du bilan coût / avantages d’une guerre.» […]

GAA Philippe Lavigne, CEMAA - Photo © AAF
Défense

Général Lavigne : « Comment l’Otan imagine la guerre du futur »

L’Otan est et restera une alliance défensive. Nous garderons l’avantage tant que la crédibilité de l’article 5 sera préservée. Celle-ci est intrinsèquement liée à notre interopérabilité, valeur ajoutée de l’Alliance. Mais cette interopérabilité représente un défi à l’heure du numérique et de l’hyperconnectivité. C’est pourquoi le nouveau concept stratégique de l’Alliance indique que la transformation numérique de l’Otan doit être accélérée. […]

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Défense

Franco-Allemand : Développer une culture stratégique européenne

Déclaration commune de M. Sébastien Lecornu, ministre des Armées et de son homologue allemand, M. Boris Pistorius, ministre fédéral de la Défense, à paris à l’occasion du conseil franco-allemand de défense et de sécurité qui s’est tenu à l’occasion de la célébration du 60e anniversaire de la signature du Traité de l’Elysée… Dialogue franco-allemand au profit d’une culture stratégique européenne : développer davantage les échanges structurels et l’intégration entre nos forces armées. Maintenir un dialogue soutenu et de qualité sur notre appréciation de la situation et notre soutien à l’Ukraine. […]

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Défense

Emmanuel Macron à Mont-de Marsan : Nous devons avoir une guerre d’avance

La prochaine LPM 2019-2025 a une vocation claire : réparer nos armées, leur redonner le souffle, les moyens, sortir de la logique de pénurie et retrouver des leviers d’action… Devant l’accumulation des menaces dans tous les domaines … Notre modèle d’armée doit privilégier la cohérence sur la masse, la réactivité sans sacrifier l’endurance. Nous devons à la fois réparer et transformer nos armées. Après la Revue nationale stratégique à Toulon, à Mont-de-Marsan Emmanuel Macron lance la prochaine LPM. […]

generaux russes 03b2a
Ukraine

Ukraine : Leçons partielles pour avant, pendant et après la guerre

La parole de Winston Churchill reste d’actualité: « La Russie est un rébus enveloppé de mystère au sein d’une énigme : mais peut-être y a-t-il une clef? Cette clef est l’intérêt national russe ». Sans doute Churchill en a-t-il donné justement la clef. Mais les dirigeants russes actuels ont-ils conscience de l’intérêt réel de la fédération russe ?
La première faute est d’avoir négligé les pesanteurs géopolitiques de l’Histoire.  La seconde est de s’être, en même temps, mépris sur la nature du changement introduit dans la société russe à la suite de la disparition de l’URSS. […]